Alberto Cruz
LE CEPRID
Traduit par Danielle Bleitrach
Un pays dont on parle peu, le Kazakhstan, a été celui qui a commencé l’année de manière importante. Une série de manifestations, d’abord pour protester contre la hausse du prix du carburant, a fini par se transformer en une lutte entre clans oligarchiques et en une défaite des aspirations de l’Occident à un nouveau règlement après le fiasco afghan.
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LE CEPRID
Le débat est déjà ouvert, même si des secteurs de la soi-disant gauche – et sous les prétendues bannières ouvrières – tentent de se discréditer et de se placer là où ils sont toujours, au cœur de la puissance hégémonique occidentale : en Chine, il y a une situation anticapitaliste évidente, manifestation d’une « révolution profonde » qui est inscrite en tant qu’objectif dans le XIVe Plan quinquennal (octobre 2020), pour parvenir à une « prospérité commune » d’ici 2035.
> suiteCollectif Qiao
CEPRID
Tandis que les médias français passent la nuit à attendre le résultat des élections américaines. Pour la Chine, il s’agit d’un non événement parce que le consensus est total entre les deux candidats sur la manière dont ils vont défendre leur hégémonie économique qui s’appuie toujours sur le militaire. Un groupe d’intellectuels chinois installé au Canada, aux USA et en Europe, le collectif Qiao, nous livre cette analyse. Au même moment, la lecture de Rouge-vif, l’idéal communiste” d’Alice Ekman va exactement dans le même sens, la Chine est communiste et pas seulement depuis XI. Mais nous y reviendrons parce que la question est bien la transition dans laquelle le monde est engagé (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoire et société).
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